grand départ 2017 : Düsseldorf
1. Düsseldorf : une métropole qui cultive l'art de vivre.
Baignée par le Rhin, Düsseldorf, 620 000 habitants, est la capitale du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le plus peuplé d'Allemagne. Au cœur du vaste ensemble Rhin-Ruhr, 11,6 millions d'habitants et 500 000 entreprises, elle constitue l'un des centres économiques les plus importants du pays.
Elle est de plus considérée comme la capitale allemande de la mode, d'où son surnom de "petit Paris" et, sur "Kö", Königsallee, en français l'allée du Roi, se côtoient les enseignes les plus prestigieuses. A deux pas de là, la vieille ville historique abonde de nombreux bars et restaurants tandis que la promenade sur les rives du Rhin contribue à instaurer une ambiance méditerranéenne au bord de l'eau. L'académie des beaux-arts ainsi qu'une vingtaine de musées et lieux d'exposition, le château de Benrath, le théâtre (Düsseldorfer Schauspielhaus), l'Opéra allemand sur le Rhin (Deutsche Oper am Rhein), la salle de concerts de la Tonhalle en font également une métropole reconnue sur le plan culturel. Les activités sportives y tiennent elles aussi une place de choix que ce soit le sport loisir accessible à tous ou le sport professionnel (football, hockey sur glace). Enfin, outre le Tour de France, Düsseldorf accueillera en 2017 les championnats du monde de tennis de table et les championnats d'Europe de triathlon.
Charme cosmopolite et joie de vivre caractérisent Düsseldorf, la capitale du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Avant d'obtenir son statut de ville en 1288, c'était à l'origine un village situé au bord de la rivière Düssel qui lui a donné son nom. Peuplée de 620 000 habitants, c'est aujourd'hui, sur le Rhin, une métropole particulièrement dynamique dans les domaines de l'économie, du commerce, de la culture et du sport.
Au cœur du vaste ensemble Rhin-Ruhr (11,6 millions d'habitants et 500 000 entreprises), Düsseldorf constitue l'un des centres économiques les plus importants du pays. Elle est par ailleurs aujourd'hui considérée en Allemagne comme la capitale de la mode. Les enseignes les plus prestigieuses se côtoient sur Königsallee, surnommée "Kö", la grande artère commerçante de la ville. A deux pas de là, la vieille ville historique abonde de nombreux bars et restaurants tandis que la promenade sur les rives du Rhin contribue à instaurer une ambiance méditerranéenne au bord de l'eau. L'académie des beaux-arts ainsi que plus de 2 douzaines de musées et lieux d'exposition, le château de Benrath, le Düsseldorfer Schauspielhaus (théâtre), le Deutsche Oper am Rhein (Opéra allemand sur le Rhin), la Tonhalle, une centaine de galeries, de nombreuses scènes et salles de concert font de Düsseldorf une métropole reconnue sur le plan culturel. Les activités sportives elles aussi sont très prisées par la population de Düsseldorf, que ce soit le sport loisir accessible à tous ou le sport professionnel (football, hockey sur glace). En 2017, la ville accueillera également les championnats du monde de tennis de table et les championnats d'Europe de triathlon.
Autant d'atouts grâce auxquels Düsseldorf fait partie, dans les classements internationaux, du peloton de tête des villes où il fait bon vivre.
duesseldorf.de
2. Le Tour, une histoire allemande.
Les sprinteurs en vedette.
En juillet 2017, Düsseldorf accueillera le 4ème Grand Départ allemand du Tour de France après Cologne (1965), Francfort (1980) et Berlin-Ouest (1987). Les sprinteurs et rouleurs de la génération actuelle avec Greipel, Kittel et Martin continuent de faire grossir le pactole d'étapes…
L'historien du cyclisme connaît Josef Fischer comme le vainqueur de la 1ère édition de Paris-Roubaix en 1896. Son empreinte sur le Tour de France a été moins commentée mais il faisait bien partie des "inconscients et rudes semeurs d'énergie" dont parlait Henri Desgrange au matin de la première étape en 1903 (15ème à l'arrivée finale à Paris) et reste à ce titre le pionnier de tous les coureurs d'outre-Rhin sur la Grande Boucle. Plus tard, la renommée de Kurt Stöpel aurait pu se prolonger bien au-delà de sa carrière si, en plus d'apporter à son pays sa première étape du Tour et d'endosser le Maillot Jaune le temps d'une journée, il avait pu, en 1932, s'imposer à Paris. Il se contentera du statut de dauphin d'André Leducq. Plus aucun coureur allemand ne s'est réellement ensuite approché du titre suprême, même si Dietrich Thurau a longtemps sillonné la France et un bout d'Allemagne en jaune lors de l'édition 1977… et si Jan Ullrich a fait illusion jusqu'au bout de l'épreuve 20 ans plus tard. En revanche, les coureurs allemands se sont illustrés à plusieurs époques sur le terrain des victoires d'étapes. C'était le cas dans les années 60 avec le regretté Rudi Altig, vainqueur à 8 reprises, puis avec Erik Zabel, 6 fois maillot vert du Tour. Sur le total des 4 dernières éditions, leurs héritiers ont été les plus gros croqueurs de bouquets, avec une domination contestée mais nette sur les sprints. Cette année, André Greipel a fait monter son compteur personnel à 11 victoires tandis que Marcel Kittel a ajouté son nom sur une 9ème ligne du palmarès du Tour. Quant à Tony Martin, il a réussi à partager ses 5 victoires entre étapes en ligne et contre-la-montre tandis que John Degenkolb a connu un contretemps qui a certainement différé son entrée dans le club. Et la relève est en route…