dimanche 26 juillet : 21ème étape : Montereau-Fault-Yonne – Paris-Champs-Elysées 164 Km

Le commentaire de Christian Prudhomme :

L'étape parisienne est celle de l'aboutissement pour les uns, du soulagement pour beaucoup d'autres. Vaincre aux Champs-Elysées flatte un palmarès. Sur la "plus belle avenue du monde", au prestige incomparable, la dernière ligne droite n'en est que plus savoureuse, qu'elle consacre un sprinteur ou un finisseur.

Montereau-Fault-Yonne.

2 fois ville-étape,
18 000 habitants,
Chef-lieu de canton de Seine-et-Marne.

Deux départs d'étape ont été donnés de Montereau, en 1977 et en 2004. Cette année-là, un coureur italien, Filippo Simeoni, avait décidé de bouleverser les usages en attaquant dès la sortie de la ville, alors que le peloton se préparait à une tranquille promenade jusqu'aux abords de Pairs. Il avait toutefois été sommé par le porteur du Maillot Jaune lui-même de rentrer dans le rang, après seulement 8 kilomètres.

Paris, Champs-Elysées.

Ville-arrivée finale traditionnelle du Tour de France,
2 200 000 habitants,
Capitale de la France,
 Chef-lieu de la Région Ile-de-France.

Depuis 1903, c'est dans la capitale que s'est jugée l'arrivée finale de toutes les éditions du Tour de France. Jusqu'en 1967, c'est sur la piste du vélodrome du Parc de Princes que s'achevait le parcours de la Grande Boucle. Puis, avant que l'idée de l'avenue des Champs-Elysées ne soit adoptée, pour l'édition 1975, l'explication finale s'est jouée sur la piste du vélodrome de Vincennes, couramment appelé "La Cipale".